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Sophie est une bloggeuse culinaire qui anime le blog de « La tendresse en cuisine » mais également celui de Recettes végétales. Ses 2 blogs cumulent plus de 600k vues / mois c’est dire à quel point les articles de Sophie sont lus et aimés.

J’ai eu la chance d’apparaitre dans son livre intitulé Fêtes (vous) plaisir où je présente deux recettes de cuisine

Naissance de "la tendresse en cuisine"

Le premier est né d’un défi qu’elle s’est lancé il y a 10 ans avec l’idée primitive de faire 1001 recettes en 1001 jours c’était son premier défi.

Son second défi fut de faire un tour du monde culinaire en une année le jour de la fête nationale des pays.

Là il y eut une révélation : la cuisine parle mieux des humains que les mots. Dans la sensibilité du goût on ressent les conditions de vie, les  climats, les forces et les joies des peuples.

Naissance de "Cuisinser pour la paix"

Alors vint l’idée de la création de l’association Cuisiner pour la paix, une association pour permettre de ressentir de façon sensible et gustative les ressentis d’autres peuples afin de s’en approcher en toute amitié et provoquer ainsi des expériences intuitives et gustatives communes.

D’autres blogueurs se sont joints au mouvement et maintenant à chaque fête nationale d’un pays plusieurs personnes font leur tour du monde culinaire pour la paix en saluant les habitants des autres pays par un plat traditionnel de ce pays.

Naissance de "recettes végétales", il y a un an

Le blog prenant de l’importance l’idée de créer Recettes végétales est venue, séparer du blog de La tendresse en cuisine les recettes ne contenant aucun produit animal afin d’aider les personnes en recherche de ce type d’alimentation de trouver un site dédié.

L'alimentation cétogène

Puis il y eut la découverte pour des raisons de santé de l’alimentation cétogène. C’est-à-dire une alimentation débarrassée d’un maximum de glucides. Une perte de poids de 24 kg en une année avec deux principaux axes :

D’un côté trouver et créer des recettes de compensation des produits interdits. Je pense aux pizzas, aux pains, aux douceurs et aux gâteaux et autres gourmandises cétogènes.

De l’autre côté chercher vraiment comment le corps fonctionne afin de pouvoir se nourrir d’une façon saine et qui guérit. L’alimentation cétogène est la seule alimentation à ma connaissance qui répare le corps, permet de guérir du diabète, prévient du cancer, calme les troubles neurologiques.

Devant les besoins de conseils et de soutien de beaucoup de personnes un groupe sur Facebook a été créé, avec une coach en alimentation cétogène certifiée, qui s’appelle Keto & Co où les personnes partagent recettes, expériences et soutien.

Après mon admiration sans faille pour les coquilles Saint-Jacques, voilà un légume qui me surprend tant par son goût délicat et subtil que par son histoire.

Je vous parle d’un tubercule, le topinambour, qui a fait son apparition au 17ème siècle. Le topinambour, découvert par le fondateur de la ville du Québec Samuel de Champlain, nous vient du Canada.

 

Histoire du topinambour

Légume d’hiver, il est également appelé « l’artichaut de Jérusalem », « la truffe du canada » ou encore « le  soleil vivace » et il en existe plusieurs variétés.

Le topinambour qui fut longtemps boudé et méprisé a maintenant le vent en poupe et s’invite même à la table des grands chefs… et aussi de la mienne !

En effet ce légume oublié fut longtemps considéré comme le « légume du pauvre » où « la pomme de terre du pauvre ». Cette mauvaise réputation est due au souvenir de l’Occupation pendant la seconde guerre mondiale. C’était un des rares produits disponibles pour se nourrir dans les villes entre 1940 et 1945. Il a permis aux français de se nourrir en tant de guerre…

Présentation du topinambour

  • au niveau du goût, le topinambour se situe un peu entre l’artichaut et le navet.
  • le topinambour se consomme : en salade, velouté, fricassée etc… on peut également réaliser une délicieuse glace de topinambour.

Dans certaines préparations il peut être consommé avec la peau qui dans ce cas doit être soigneusement brossée.

Bref ! Vous aurez compris toutes les merveilles que l’on peut réaliser à base de ce légume.

– qualité de fraîcheur d’un topinambour :

  • la peau doit être bien dure et ferme
  • la chair bien blanche

– moyen de conservation :

  • le topinambour se conserve un peu moins bien que la pomme de terre
  • une petite technique de conservation : en bas du bac à légume recouvert d’un linge légèrement humide
  • apports : peu calorique, fibres, potassium, fer.

Maintenant je pense que vous vous attendez à ce que je marie mes deux aliments favoris c’est à dire la coquille Saint-Jacques et le topinambour. Je vous propose ma recette de velouté de topinambour qui se mariera très bien avec une fricassée de coquilles Saint-Jacques. Néanmoins toutes vos suggestions seront les bienvenues.

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Voici une recette sympa qui cartonne en été.

Ingrédients pour 6 personnes :
– 8 grosses tomates- 145 gr de concombre – 1 gousse d’ail – 1 gros oignon rouge – 20 g de basilic – 60 g de pistache – 1 citron vert – huile d’olive – 1 cuillère à café de sucre roux – poivre concassé – sel

1ère étape :Rincer les légumes sous l’eau froide
* FAIRE MARINER L’OIGNON :- couper très finement l’oignon- verser le jus du citron sur l’oignon- ajouter le sucre roux et 2 cuillères à café d’huile d’olive- mélanger le tout, couvrez et réservez au frais pendant 2 heures minimum


2ème étape :
* RÉALISER LA SAUCE PISTOU À LA PISTACHE- éplucher l’ail et retirer le germe – éplucher le concombre, le couper en deux et retirer les graines- garder un quart du concombre pour la réalisation de la sauce pistou (couper le reste en petits morceaux à conserver au frais pour la dernière  étape de notre recette) – dans  un récipient profond, mettre l’ail, les pistaches, le concombre, le basilic, 1 cuillère à soupe d’huile d’olive, une bonne pincée de poivre, du sel et  mixer le tout. Couvrir et conserver au frais.

3ème étape :
* PELER LES TOMATES – Préparer un grand bol d’eau frais et ajoutez y des glaçons – dans une casserole profonde faite bouillir de l’eau – pendant que l’eau commence à chauffer faites 2 légères incisions  en forme de croix sur l’arrière des tomates . – lorsque l’eau arrive à ébullition, plongez-y les tomates 15 secondes, retirer-les et placer les aussitôt dans l’eau glacée pour stopper la cuisson.

4ème étape :
*DRESSER LE CARPACCIO – Couper les tomates en très fines lamelles et disposer les séparément sur toute l’assiette – répartir un peu de concombre sur les tomates – badigeonner une bonne cuillère à soupe de la sauce pistou sur les tomates. – mettre l’équivalent d’une cuillère à soupe de l’oignon mariné par dessus – terminer en saupoudrant de pistaches concassées .

*Le dressage de cette recette qui se déguste avec du pain frais se réalise à la minute.

Certes je ne suis ni médecin ni pharmacienne mais je partage avec vous mon expérience et mes « recettes ». De nombreuses personnes comme moi évitent de prendre trop de médicaments et préfèrent se tourner vers les médecines traditionnelles pour venir à bout des maladies bénignes.

Quand l’hiver arrive nous sommes tous à la merci du rhume. Nous connaissons le bon vieux grog de nos grand-mères (rhum-citron-eau chaude-miel). Laissez moi vous présenter la méthode Perledorange testée et approuvée par mon entourage.

Vous serez soulagé de ce vilain rhume en n’utilisant que des ingrédients réputés pour leurs vertus.

Les ingrédients

Voici la liste des ingrédients pour concocter cette potion magique :

  • une grosse poignée de menthe fraîche
  • une grosse racine de gingembre
  • 10 clous de girofle
  • 1 citron
  • 4 cuillères à soupe de miel
  • 1,5 litre d’eau
Pour connaitre les vertus, des ingrédients, vous pouvez consulter les liens Wikipédia en cliquant sur les mots. Choisissez le miel de votre choix cependant je vous conseille le miel de Thym (connu pour ses propriétés antiseptiques et cicatrisantes).

La préparation

1ère étape : Laver les clous de girofle, la menthe, le gingembre , le citron

2ème étape : Emincer le gingembre en fine lamelle , couper le citron en deux

3ème étape : Dans une casserole ,mettre les rondelles de gingembre, les clous de girofle , le citron , l’eau et porter à ébullition pendant 20 minutes

Ensuite, les 20 minutes écoulées , retirer le citron, les clous de girofle et le gingembre. (vous pouvez laisser quelques rondelles de gingembre pour la prochaine étape)

4ème étape : Disposer le miel et la menthe dans un récipient profond puis ajouter le jus de cuisson et les quelques lamelles de gingembre et mixer le tout. 

Mon conseil dégustation

Comme on le sait la chaleur a la vertu de calmer la toux, c’est pourquoi on boit du thé lorsque l’on tousse. Cette potion est à consommer chaude tout au long de la journée. (Il serait judicieux de conserver, idéalement dans un thermos)

Grace à cette recette vous pouvez tenir toute une journée. Servez vous 3 à 4 verres par jour. N’oubliez pas de le consommer chaud.

Le gingembre, lorsqu’il est haché donne un goût plus fort et prononcé. C’est pourquoi, si vous ne craignez pas le côté pimenté du gingembre, mon conseil serait de le mixer avec les autres ingrédients pour profiter davantage de ses vertus.

Renouvelez cette recette pendant 3 jours

Mais rassurez vous pour finir, je ne vous laisse pas sans une vidéo explicative. N’hésitez pas à me faire un retour (après guérison bien sûr). 🙂

Dans cet article je vais vous raconter comment, au fil des années, j’ai évolué avec ma passion : la cuisine.

J’ai travaillé dans de beaux restaurants et multiplié les expériences chez des particuliers., j’ai ainsi accumulé une expérience vraiment large.

Depuis deux ans, je suis à la fois cuisinière privée pour une famille végétarienne et maîtresse de maison dans une structure éducative qui accueille des enfants en réinsertion scolaire. Mes repas ont trouvé goût auprès du personnel éducatif et des enfants, car originaux, créatifs, faits-maison ! Ce qui est peu commun pour une cantine scolaire ! Me dira t-on !
(Tiens! d’ailleurs ! Avez vous un souvenir d’enfance de vos repas à la cantine ? Comment était-ce ?)

Comment je me suis inscrite au concours ?

De bouche à oreille puis par l’intermédiaire de Philippe mon collègue psychologue, l’écho de ma cuisine est arrivé à M. Robert Fopa, président de l’AICSF et du célèbre concours de cuisine « marmite d’or « .
Monsieur Fopa a donc demandé à me rencontrer, ce que j’ai accepté avec grand plaisir. Nous avons longuement échangé lors de notre première entrevue, il m’avouera plus tard avoir été très surpris par un de mes profonds souhaits. Celui qui compléterait « mon tableau de chasse » et serait une consécration pour moi en tant que cuisinière.

Bon ! Je ne vous fais pas languir davantage !
Voici la phrase qui à surpris M. Fopa : « J’espère cuisiner un jour pour mes deux présidents : M. Roch Marc Kaboré et M. Emmanuel Macron ».
Au fur et à mesure que nos relations se développaient avec M. Fopa, ma participation au concours de la Marmite d’Or s’est dessinée d’une manière tout à fait naturelle, j’ai donc accepté de concourir.

Malgré un emploi du temps chargé entre mes différentes activités, la famille et les quelques interviews que j’arrive (enfin) à décrocher (Entrepreneuriat oblige !!!), il a fallu s’impliquer dans les préparatifs du concours.

Nous avons ainsi eu l’occasion de faire découvrir aux personnes qui gravitent autour du concours de La marmite d’Or nos univers culinaires respectifs ! Parmi les participants, l’un représentait la cuisine des Comores, l’autre, celle de l’île Maurice. En ce qui me concerne, je faisais le pont entre la cuisine française et les « cuisines d’ailleurs » : « LA CUISINE FUSION » comme la célèbre nutritionniste, Marie Antoinette Saint Jean aime à le dire.

Le jour du jugement !

Chacun des participants a communiqué selon ses disponibilités, la date, le lieu et l’heure de la dégustation de ses mets aux jurés.
La règle du jeu fut la même pour chaque concurrent : nous devions recevoir les jurés dans un lieu adapté et les servir comme au restaurant en proposant :

  • un apéritif
  • une entrée
  • un plat
  • un dessert

Pour ma part, j’ai choisi d’être jugée sur mon dessert, les deux autres participants ont décidé de l’être sur leur plat respectif.
Ma dégustation s’est déroulée le mercredi 30 octobre 2019 à 20h Chez Gus au « 183 rue Paul Vaillant Couturier à ALFORVILLE » anciennement appelé Doudou Kreyol qui a désormais une nouvelle gérance et un nouveau nom : Le palmier des îles.

La recette qui m’a fait gagner

Crème brûlée à l’hibiscus et sa meringue au gingembre

Voici ce que j’ai servi aux jurés :

Entrée : Velouté de manioc aux fines herbes et fricassé de noix de  saint Jacques brûlée au chalumeau. 

Plat : Magret de canard en éventail, plantains poêlées et sauce à  l’écorce d’orange. 

Dessert : (sur lequel  j’ai  été  jugé et noté) Crème brûlée à l’hibiscus  et sa meringue au gingembre. 

Le Jour de la remise

Le jour  de la remise du prix à eu lieu le 17 décembre 2019 à l’auditorium de la mairie de Paris. Roulement de tambour !!!

Je me suis vue décerner mon prix de Lauréate au concours de la 16ème édition de la Marmite d’Or par Hugues Bevillard, représentant de Madame Nathalie Bassire députée de La Réunion à l’Assemblée Nationale. 

J’étais donc très heureuse de recevoir, en présence de ma maman, ce prix devant une assemblée nombreuse au sein de l’Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris.
La bonne nouvelle a même été jusqu’au au Burkina Faso (pays dont je suis originaire) car le célèbre présentateur et animateur Jacky El Feno Bassano m’a félicité pour mon prix en direct à la télévision Burkinabé ! Ouaw !!! (Tout ça  pour moi !!!) comme vous pouvez le voir dans la vidéo sur le plateau d’Apero Déjeuner. (Abonnez vous à la chaîne)

Ce que je tire comme enseignement de cette belle aventure, c’est que le travail et la persévérance paient ! 
Comme on le dit au Burkina dans ma langue maternelle, le mooré : « man néere » cela signifie : « fais les choses du mieux que tu peux »

Bon, je vais devoir vous laisser 🙂 je retourne à mes fourneaux et vous dis à très bientôt pour de nouvelles aventures culinaires.

La recette de la crème brûlée à l’hibiscus (qui m’a fait gagner)

Les ingrédients

Pour réaliser votre recette il vous faudra:

Crème brûlée à l’hibiscus
  • 20cl de creme liquide
  • 40cl de lait
  • 80gr de sucre
  • 60gr d’hibiscus
  • 3 jaunes d’oeufs
  • 1 oeuf entier
  • 2 cac de semoule fine
  • 3 écorces d’orange
  • 2 clous de girofles
  • 10 cl d’eau
  • 1 cas (cuillère à soupe) de sucre de cassonade

ETAPE 1

1/ Dans une casserole à feu doux, mettre de l’eau et les feuilles d’hibiscus. Faites chauffer jusqu’à ce que l’hibiscus soit totalement imbibé
2/ Une fois l’hibiscus imprégné ajoutez les ingrédients suivants : crème, clous de girofle, les écorces d’oranges. Remuez le tout à feu doux 10min. Éteignez le feu et laissez environ 15 min de façon à ce que l’hibiscus libère encore tout son arôme
3/ Mixez le tout à l’aide d’un robot et passez ensuite ce mélange au chinois pour en extraire le jus.

ETAPE 2

1/ Faites chauffer le lait à feu doux  et éteignez le feu
2/ Dans un grand saladier, mettez les 3 jaunes, cassez 1 œuf entier avec le sucre et battez vigoureusement le tout pendant 5 minutes de façon à blanchir les œufs
3/ Versez le lait sur les œufs blanchis, fouettez y ajoutez l’extrait d’hibiscus et remuez le tout
4/ Ajoutez la semoule en pluie à cet appareil et mélangez.

ETAPE 3

1/ Préchauffez le four à 150 degrés
2/ Disposez la crème dans des ramequins et mettez au four environ 45 minutes à 100 degrés. La sortie du four les crèmes doivent avoir la même consistance qu’un flan (mais un peu moins ferme) 
3/ Laissez refroidir environ 1 heure minimum au frigo.

Au moment de consommer le dessert repartissez uniformément un peu de sucre cassonade sur les crèmes et brûlez les à l’aide d’un chalumeau.

Petit conseil

Un amateur d’hibiscus veut vraiment sentir son arôme. dans cette recette j’ai choisi de ne pas mettre beaucoup de sucre. Cette remarque est également valable pour les desserts au café, thé, chocolat etc…

À l’entendre parler de sa passion, Vanessa Bonogo finit par vous donner l’amour de l’art culinaire. De ses doigts habiles et sa créativité débordante, elle concocte des mets très courtisés. Née au Burkina Faso mais ayant vécu le clair de son temps en France avec sa famille, Vanessa Bonogo de son accent totalement occidentalisé nous contamine de son savoir-faire, la cuisine, et démontre son attachement fort impressionnant pour son Faso. Interview. lire la suite

 

 Dîner d’affaires, manifestations événementielles, repas de familles (mariage, anniversaire…), Vanessa Bonogo, chef à domicile, vous concocte des plats sur mesure pour 2 à 100 personnes.

Forte de plus  de 10 ans d’expérience comme cuisinière, cette auto-entrepreneuse, membre des associations  » Femmes qui bougent  » et « Groupe Étoiles », réalise avec sa tante Mémé des menus savoureux avec des produits frais et de qualité en fonction de vos goûts et des saisons. Parmi ses spécialités : tartare d’avocat et carpaccio de langoustines, magret de canard en éventail parfumé au gingembre et ses pommes de terre sautés, tarte fine à l’abricot et glace à la pistache…lire la suite sur femmes qui bougent..